L’illusion d’un monde compétitif. L’apartheid économique pointée sur l’Afrique noire.

L’apartheid économique que subissent les Africains noirs, par un faible PIB et une faible réserve monétaire octroyée en prêt par les banques centrales freine tout progrès et tout projet de développement et condamnent les Africains à la pauvreté et à des rôles de subalternes sous un long terme.

Ces prêts de financement attribués aux États Africains correspondent généralement aux budgets débloqués en Europe pour le financement d’un projet ordinaire comme celui de la gestion d’un hôpital et ne represente rien en termes de buget conséquent qui peut réellement conduire à un développement.

Non seulement les impérialistes donnent en prêt des maudites sommes aux dirigeants africains, comparativement à ce qu’ils s’octroient par l’usine à billet, mais encore ils créent des institutions parallèles en but d’assigner nos dirigeants morts dans leurs tribunaux et confisquer honteusement les biens acquis leur territoire. Des biens qui en vérité ne correspondent pas à une démi-journée de consommation dans leur pays , telle une villa au milieu des dizaines et milliers de villas appartenants , des Occidentaux ; ou un appartement au coeur des multiples appartements appartenants aux Occidentaux. Des biens qui en vérité ne correspondent pas à une journée d’extraction, de vol et d’ extorsion abusive de nos matières premières sur nos territoires africains.

Les noirs sont ainsi tournés en dérision dans le monde. Nos dirigeants sont accusés de vol et les enfants de l. Afrique de paresseux qui ne sont pas encore entrés dans l’histoire. Or en Occident, ils se font la part belle de la monnaie, se développent, créent des richesses, financent aisément les projets de leurs citoyens via leurs banques, sécurisent leurs frontières, cela principalement. par la force de la planche à billets. Les impérialistes, tantôt ils s’effacent les dettes, tantôt ils s’octroient des créances, et ainsi maintiennent arbitrairement leurs standings collectifs. Pendant ce temps le génie de la jeunesse africaine meurt pour faute de financement et les prêts octroyés à nos dirigeants pour le développement sont acérés des contraintes asphyxiantes qui les obligent à leur vendre le pays ou leur donner le pays pour gage.

L’apartheid économique pointer sur l’Afrique noire n’est que barbarie et lâcheté. Et l’on ne peut parler de monde compétitif, mais d’avancées. Car dès lors qu’en début de jeux les cartes ne sont point pareilles, il ne peut y avoir compétition. En matière d’économie les États ne peuvent prétendre à une réelle compétition que s’ils ont PIB similaire, une réserve monétaire identique, qui donne également droit aux financements égaux des projets citoyens, tant pour l'extention des villes, l'aménagement des territoires que pour l'accompagnement des initiations sociales et le soutien aux populations en précarité.

L’Afrique noir doit sortir de ce jeu complétif illusionniste où elle est d’emblée perdante et créer son propre jeu avec ses propre règles en toute diplomatie.

L’Afrique noire doit sortir de ce jeu complétif illusionniste où elle est d’emblée perdante et créer son propre jeu avec ses propre règles en toute diplomatie. Il y a plusieurs choses à faire pour cela. Pour exemple en abandonant la monnaie actuelle qui s’appuie sur du papier pour les échanges. Car changer du pétrole, de l’or, des diamants, des terres, un bœuf, pour du papier c'est invraisemblable